Après une carrière d’ingénieur dans l’industrie, j’ai choisi de troquer mon costume-cravate pour le tablier de l’artisan.
A l’aube de la cinquantaine, attaché à mon Alsace natale, j’ai ressenti le besoin d’exercer une activité qui alliait un service local et la recherche de l’excellence.
Quitte à être affûteur, autant être à la pointe !